Publicité |
Chapelle édifiée entre 1870 et 1875 suite au voeu d'une famille pour la protection accordée à leur fils par la Vierge lors de la guerre franco-prussienne de 1870.Une fiche recto verso en libre disposition à l'intérieur du monument peut servir de guide pour la visite, ainsi que les panneaux explicatifs disposés sur le "chemin de ronde" autour de l'édifice.Différents textes indiquent pourquoi la chapelle a été placée sous le vocable de Notre Dame de la Salette, comment elle a été construite et pourquoi cette chapelle est aussi connue dans la région sous le nom de "Chapelle de la peur", (voir la fiche en libre disposition).La visite peut se terminer fort agréablement auprès de la table d'orientation qui offre un panorama à 360° sur les Monts du Lyonnais. Par temps clair, ce qui est souvent le cas, le regard porte jusqu'aux Monts d'Auvergne.
Chapelle du XIXe siècle (vers 1872) consacrée à Notre-Dame de la Salette - édifiée par les paroissiens suite au voeu d'une famille lié à la guerre de 1870 - située sur un promontoire offrant une vaste perspective à 360° des Monts du Lyonnais aux Monts d'Auvergne.Cinq panneaux explicatifs présentent sur un petit chemin de ronde autour de la chapelle l'historique de la chapelle, la vallée de la rivière Coise d'où la commune tire son nom, l'histoire de Coise. Une table d'orientation permet de se situer dans le paysage local et régional. A l'extérieur, sur le tympan surmontant le linteau de la porte : Notre-Dame de la Salette, assise en pleurs, telle qu'elle se montra à Maximin et Mélanie les deux petits bergers de l'apparition de 1846. A l'intérieur, au-dessus de l'autel, le retable en pierre aux lignes harmonieuses trouve tout son intérêt dans un motif de grandes dimensions montrant Notre-Dame de la Salette debout, les mains passées dans les manches de son manteau, les yeux fixés sur Maximin et Mélanie, à ses côtés en contrebas. Au-dessous de l'autel : groupe de sept personnes ensevelissant le Christ. · Quatre personnages complètent l'ensemble de la statuaire :A droite, Saint Simon avec une longue scie, instrument de son martyr et Saint Jean avec, en main, un calice d'où sort la tête d'un serpent, allusion à un fait légendaire. A gauche, Saint Pierre avec ses clefs, et Saint Antoine le Grand (ive siècle), dit " Antoine l'Ermite ", ermite en Égypte ; · Quatre vitraux et une rosace éclairent la nef longue de 9 m 50 et large de 5 m 45. A côté du choeur : petite sacristie et clocher avec une cloche qu'autrefois on tintait à chaque"Angélus". En quittant l'oratoire se diriger à l'extrémité sud-ouest de l'esplanade pour découvrir, depuis la table d'orientation le remarquable paysage environnant.
Rhône
Gratuit
Informations détaillées extraites du Guide Tourisme France :
- consultez aussi la fiche du département du Rhône
Publicité |